4.3 - Réalisation / Fabrication














































La typographie est au texte ce que l'élocution et l'intonation sont à la parole.



























































































Classification

Globalement, il y a donc 2 groupes de caractères, ceux avec empattements (avec serifs) et ceux qui n'en ont pas (sans serifs). Parmi tous les classements proposés, le plus simple reste celui du typographe Thibaudeau, en 1921, qui ne retient que quatre familles de base, différenciées par leurs empattements.

Le français est une langue accentuée, et à cédille. Contrairement à une pratique malheureusement trop répandue. on doit conserver les accents sur les capitales (mais pas les points sur les 1).

Textes en noir au blanc (négatif).
Ne pas abuser des capitales qui se lisent difficilement et donnent un ton sentencieux aux textes. Les bas de casses* sont d'un accès plus rapide.

 


































































Texte très bref. 4 lignes inégales centrées, composées en Zapf Chancery, caractère cursif à vocation historique par ses angulations néogothiques. Impression en noir au blanc (négatif) avec une seule couleur sur fond blanc. (Lucey, concepteur Benoit Lafosse)

Titre et chapeau composés en habillage de la silhouette du dinosaure. Times gras, droit et italique. Le texte est en drapeau aligné à gauche. Trois couleurs : vert-bleu-noir. (St-Laurent de Trèves, Parc national des Cévennes)

Petits pavés de texte composés en drapeau alignés à gauche. Surface image très importante structurée en triptyque. Impression: sérigraphie en 3 couleurs, noir-bleu-gris, avec réserves ouvertes sur un fond blanc. Trait + aplats. (Histoire et archéologie, Pointe de la Roque, Parc naturel régional de Brotonne)

Accroche par le dessin central. Texte poétique bilingue, composé en drapeau aligné à gauche en diptyque. Impression en 2 couleurs sur fond jaune paille. Caractères à empattements, Baskerville (?). Curieux effet du texte navajo, incompréhensible, mais incitant à lire sa traduction en anglais, qui nous permet de pénétrer un peu cette civilisation perdue dans l'ombre: typographie poétique du texte navajo composé en négatif dans l'ocre rouge. (USA)

Le point focal est le titre en rouge, seule intervention de la couleur, il se relie par la diagonale au "trou noir". Texte en drapeau, Times gras, en colonne étroite, style presse, avec bandeau noir en tête. Très beau dessin à la plume, le graphiste a fortement insisté sur l'environnement, en laissant les détenus en taches claires, fantomatiques, à l'état d'esquisses. Traitement graphique de l'incarcération. Charge affective très forte, le thème des barreaux apparaît à 6 ou 7 endroits différents. (Prison d'Alcatraz, USA)
































































































Reliés à l'ordinateur. scanner, clavier, souris. les nouveaux outils de conception et de réalisation.

 

























Sentier de découverte, stratification Print.
(Maincourt. Parc naturel régional de la vallée de Chevreuse)



























Nous rappelons que, pour tous ces problèmes de fabrication, ATEN a entrepris une vaste enquête auprès des réalisateurs et des ateliers pour mettre en place un fichier permanent.

"Critères de choix des matériaux et techniques d'impression pour les supports signalétiques"

 

Prototype

Typographie

Mixage texte-image

Traitement graphique de l'image

Fabrication

Mobilier-support (exemples)

 

Avec cette troisième et dernière étape, nous entrons dans le domaine des professionnels. Graphistes, imprimeurs, sérigraphes, menuisiers ou serruriers, qui vont assurer la réalisation finale du projet. Loin de nous l'idée de leur prodiguer le moindre conseil. S'ils ont été bien choisis, ils connaissent leur métier. Néanmoins, ne serait-ce que pour assurer un dialogue efficace avec eux, il nous paraît nécessaire de dévoiler ici quelques-uns des aspects fondamentaux des techniques que ces professionnels vont devoir mettre en oeuvre.

 

4.3.1. Prototype

On commencera par réaliser un prototype à partir de l'un des panneaux prévus à l'étape précédente.
On pourra ainsi juger, in situ et en vraie grandeur, aussi bien du panneau signalétique lui-même (support-surface) que du mobilier-support.

Pour fabriquer ce prototype, il faut arrêter le choix définitif de tous les éléments :

  • le traitement typographique du texte.
  • le traitement graphique des illustrations, en fonction de la typographie et du moyen de reproduction.
  • l'ensemble du panneau : texte + illustrations mis en page et monté-collé de façon traditionnelle ou, comme cela se fait généralement aujourd'hui, avec un fichier informatique totalement numérisé.
  • le design du mobilier sous forme de plan d'exécution précis.

 

4.3.2. Typographie

Choisir une police de caractères...

Il ne s'agit pas d'un geste au hasard. Il faut savoir qu'une police de caractères a été dessinée à une époque bien déterminée.
Chaque fois le créateur s'est efforcé de réunir dans son dessin deux préoccupations fondamentales :

  • d'une part, assurer la fonction de lecture avec un maximum de clarté, en répondant aux besoins spécifiques de l'alphabet latin en usage dans la plupart des pays européens (et leurs extensions outremer) : latin, anglo-saxon, germanique, scandinave, ibérique.
     
  • d'autre part, intégrer dans le dessin de la lettre des préoccupations plastiques identiques à celles des autres domaines artistiques: architecture, peinture, sculpture, design ou mode.
    Le caractère se présente comme une synthèse stylistique de son époque. Mais seuls seront considérés comme des classiques, les caractères dont le style permettra de les utiliser bien au-delà de leur époque.

 

 

Avec ou sans empattements ?

C'est la première question qui se pose lorsqu'il s'agit de choisir un caractère.

Un message neutre a besoin d'un caractère neutre. Principalement dans le domaine de la signalétique de direction.

Même si l'empattement facilite la lecture, il apportera toujours une part de subjectivité.

C'est pourquoi les caractères sans empattements sont couramment employés dans les gares, aéroports, autoroutes, etc.

On réservera l'emploi de polices avec empattements (avec sérifs) à des textes plus humanistes, faisant généralement appel à une compréhension à plusieurs niveaux.

Voici quelques règles pour guider les choix typographiques

  • N'utiliser de préférence qu'une seule police, deux au maximum.
    Par exemple, une police pour les titres à voir, une autre pour les textes à lire.

     
  • Si des textes de styles différents imposent le recours à des polices différentes, il vaut mieux utiliser les déclinaisons d'une même police.
    Cela permet d'établir des analogies musicales significatives :

 

maigre soprano
demi gras   ténor
 gras baryton
 extra gras  basse


 

C'est en employant des caractères "classiques" qu'on bénéficiera le plus souvent de ces variations.

  • Connaître la classification des polices (encadré 2)
    Grâce à l'ordinateur, on dispose aujourd'ui d'un choix très vaste, trop vaste. Des centaines de polices sont à notre disposition. Comment y voir clair et mesurer les avantages ou inconvénients d'une police ?
    Pour distinguer lesquelles sont "classiques ", il faut avoir une idée globale de la classification des polices, en familles bien caractérisées.
  • Distinguer les subtiles différences à l'intérieur d'une même famille (encadré 3) en considérant certaines lettres :
    R, G, g, h, a, e, s, o ...

L'oeil (la rondeur du 0)
La forme des empattements
La différence de "graisse" entre pleins et déliés
Le "x-height" par rapport aux ascendantes (hauteur du x par rapport au h)

Toutes ces différences, accumulées dans un texte, confèrent à la typographie un ton particulier

 

 

Texte illisible parce qu'il est composé en capitales sur une justification beaucoup trop longue (120 signes par ligne !). Un support aussi noble qu'une dalle de lave émaillée scellée sur un rocher aurait dû susciter un traitement graphique et typographique plus attentif. Cette stèle au style funéraire est pourtant faite pour durer plusieurs décennies.

 

 

 

Alignement du texte

Texte justifié sur 76 mm avec 40 signes par ligne, surinterligné. Police proche du Clarendon light. Marges tournantes selon une loi typographique classique. ("Un souvenir d'enfance de léonard de Vinci", S. Freud, éditions Gallimard, 1927)

Reste à choisir la manière d'aligner le texte. Ce choix s'opère évidemment en fonction de la grille de mise en page (§ 4.2.4 ) et des surfaces dest inées aux illustrations.
Le traitement de texte de l'ordinateur vous propose plusieurs types d'alignement possible, ils sont au nombre de quatre.

justifié
Le texte est margé à gauche et à droite avec des coupes de mots en fin de ligne (césure).C'est la manière utilisée dans la presse et dans l'édition. Ce sont les célèbres colonnes des journaux, souvent bordées par des filets verticaux. Dans les éditions de qualité, la justification obéit à des règles esthétiques héritées des plus lointa ines tl'ad itions du livre. Ce paragraphe est donc justifié.

Aligné au fer à gauche

Titre dramatisé. comme un fait divers de quotidien local. centré, en bas de casse, police Helvetica gras. Efficace. Texte sur 2 colonnes alignées au fer à gauche en Helvetica demi gras. Illustration cadrée, coiffant les 2 colonnes, style gravure soigneusement naïve. Une seule couleur, le noir. (Val-Jalbert. Québec)

Extrait d'une page du magazine "TIME". Titre et chapeau au fer à gauche. Texte en colonnes justifiées avec filets, caractères avec empattements. Titre, lettrine sur 6 lignes, en Bâton condensé black.

 

(En drapeau)
Disposition conforme au sens de lecture, l'oeil cherche instinctivement les débuts de ligne à gauche. Le texte est margé uniquement à gauche, les lignes ont des longueurs inégales à droite. On peut même interd ire la césure. Dans ce cas, on s'efforcera d'obtenir des coupes de lignes" intelligentes", souvent calquées sur le rythme de la lecture à haute voix. A éviter: les lignes trop creuses ou trop égales.

Aligné au fer à droite
En drapeau également. Texte margé uniquement à droite. Pas commode à lire, exceptionnel. Réservé à des titres, des" chapeaux", ou à de courtes légendes, pour une illustration située à droite. Ce texte est donc composé au fer à droite.

 

Centré

Les lignes inégales se répartissent de façon symétrique de part et d'autre d'un axe médian. Réservé aux titres, ou "chapeaux"courts. Les textes centrés ont un caractère plus sentencieux et monumental.

Habillage

Quand le sujet principal d'une image est détouré, l'espace autour de la silhouette devient libre et peut accueillir du texte. Généralement le texte s'alignera à gauche ou à droite. L'ordinateur peut réaliser automatiquement cet habillage, mais il ne le fait jamais de façon réellement satisfaisante, il vaut mieux intervenir manuellement pour obtenir des coupes de lignes faciles à lire.

Que choisir ? 

Concernant les panneaux signalétiques d'interprétation, l'alignement en drapeau du texte et l'habillage d'image sont souvent les meilleures solutions pour assurer le mixage texte et image. Profiter de la séduction et de la précision de l'un pour faire passer le conceptuel plus abstrait de l'autre.

 


4.3.3. Mixage texte-image

Nous empruntons le terme de mixage encore au cinéma. Chacun sait qu'il s'agit de l'étape finale de la réalisation d'un film qui consiste à mixer la bande-son avec l'image. Sans entrer dans le détail de la technique cinématographique, on peut dire qu'elle est exactement comparable au mixage texte + image d'un panneau signalétique.

Pour le film, le mixage s'effectue dans le temps, en respectant une synchronisation de l'ordre du 1/24e de seconde. Pour le panneau, le mixage s'effectue dans l'espace selon un positionnement relatif du texte et de l'image qui s'exprime en millimètres. Le lecteur transformera cet espace en durée de lecture (se reporter § 4.2.5 à l'exemple de lecture à 3 temps).

On se rend compte ici que la mise en page obéira plus à la nécessité de donner du sens qu'à des règles esthétiques de répartition de surfaces.
Positionner la typographie d'un texte, au bon endroit dans un panneau, est exactement comme faire intervenir une musique au bon moment dans un film.

Le point focal
C'est le point" d'accroche", d'attirance maximum. Dans la majorité des cas, c'est l'image qui joue ce rôle, mais un bon titre, original, court et en gros caractère peut tout aussi bien accrocher l'intérêt du lecteur.
Sans en faire une loi incontournable, on a toujours intérêt à situer ce point focal en haut et à gauche du format, la zone où se porte instinctivement le regard pour commencer la lecture.


4.3.4. Traitement graphique de l'image

Quel que soit le talent du graphiste, il doit posséder une qualité essentielle : l'adaptabilité.

Une fois les illustrations "crayonnées" avec suffisamment de précision, il devra d'abord les adapter graphiquement au procédé de reproduction et au support-surface envisagés.

Il lui faudra assurer une unité d'écriture dans l'ensemble des panneaux jalonnant le parcours.

Egalement veiller à l'harmonie du couple typographie/illustration, surtout pour les textes à voir (titrage, chapeau), en les associant, soit par analogie, par exemple trait maigre avec caractères maigres, soit par contraste, en opposant trait maigre et caractères gras, ou vice-versa.

Voici quelques variations sur un graphisme emprunté à notre projet :

 

Les photographies anciennes, cartes postales, etc. ont des qualités graphiques dues à leur absence de couleurs (elles sont souvent en bichromie sépia) et à leur aspect statique (prise de vue en pose sur trépied). Panneau rappelant le tremblement de terrre de San Francisco. La même photo se répète en fond, en écho atténué. Évocation graphique du séisme. 

 

 


 

Cohérence graphique du dessin détouré, style encyclopédie, avec la mise en page et la couleur. Panneau sur le circuit de visite de l'ancienne base navale anglaise Nelson's Dockyards, dans l'île d'Antigua aux Antilles. Émaillage à haute température sur un alliage métal, procédé choisi pour résister aux contraintes climatiques. (Design Communication, Montréal)

 


4.3.5. Fabrication

Ultime étape qui consiste à donner forme définitive au projet, puis à l'installer sur le site. Qu'on ne se méprenne point: le choix du procédé technique de fabrication a été arrêté bien avant, au moins au niveau de l'avant-projet, qu'il s'agisse du moyen de reproduction sur un support-surface, ou du design du mobilier-support.

Un tirage très limité

Ce qui est déterminant pour le choix d'un procédé, c'est la nécessité de ne produire qu'un seul exemplaire de chacun des panneaux.
Cela élimine en grande partie tous les procédés voisins de l'imprimerie traditionnelle dont la vocation aurait été de multiplier chacun des panneaux par 500, 1 000, la 000 et plus. Pour un seul exemplaire, les coûts seraient prohibitifs.

La conception assistée par ordinateur

Aujourd'hui, 8 ateliers d'édition graphique sur 10 utilisent l'ordinateur.
La réalisation d'un panneau sur ordinateur est d'essence virtuelle : on ne voit l'objet que sur un écran. Même dessinées à la main sur papier, ou photographiés avec un appareil 24x36, les images seront numérisées par un scanner et importées avec le texte dans un logiciel de mise en page (QuarkXPress ou PageMaker). Parfois, retouchées ou mises en couleur dans un logiciel de dessin (III ustrator, Freehand) ou de photo (Photoshop). Ensuite, le fichier numérique mis au point est imprimé sur papier par une imprimante laser, ou à jet d'encre, pour les dernières corrections.

De l'épreuve couleur numérique
A partir du fichier numérique, on peut obtenir une épreuve couleur en haute définition (haut de gamme) auprès d'un bon photograveur reconverti dans la PAO.

Nous sommes là au coeur du problème de la reproduction, car ce domaine est en constante mutation, et, au moment où cet ouvrage sera publié, de nouveaux procédés auront certainement fait leur apparition et ceux existants se seront améliorés.
La fabrication pourrait s'arrêter là, au niveau de l'épreuve couleur, puisqu'il nous faut un seul exemplaire, oui, mais... cela suppose que ladite épreuve couleur résistera à l'exposition en plein air: lumière, intempéries, vandalisme, inertie de surface à la chaleur, humidité, etc.

... à la photocopie couleur
Les procédés de photocopie couleur, numérisée ou pas, ont fait aussi des progrès considérables. Qui nous empêche de conserver une épreuve couleur numérique comme matrice et d'en tirer autant de photocopies qu'il est nécessaire, à jeter après usure? Voilà une première sécurité. La nécessité de protéger notre panneau (pour une durée à définir) nous oblige à recourir à des techniques particulières.

Placer la photocopie couleur dans un cadre
Solution du sous-verre, la plus simple. Dès le départ du projet, il faut avoir conçu un mobilier-support avec cadre (il y en a de multiples exemples dans le présent ouvrage).
Auparavant, l'épreuve couleur est Stratification contrecollée sur un support-surface rigide, aussi inerte que possible aux variations de température et d'humidité.
Une possibilité de montage facile permettra de changer la photocopie au moindre signe de défraîchissement.

Stratification
Nouveau procédé. La stratification consiste à compresser à haute température un "millefeuilles" de papier Kraft imprégné de résine, cela provoque un durcissement par polymérisation et le "millefeuilles" devient un seul bloc homogène, très résistant. Si la dernière feuille, placée au-dessus, est notre photocopie couleur, le tour est joué : nous obtenons un panneau "stratifié". Avec une épaisseur de 10 ou 15 mm, le panneau est autoporteur, il peut se passer de cadre.
Un impératif : la photocopie doit être faite avec un papier poreux, perméable à la résine. S'informer, car ce procédé évolue très vite. Les exemples (fiche 3.4 et fiche 3.6) ont été réalisés avec ce procédé, avec couleurs à l'eau rajoutées à la main sur la photocopie en noir.

Lave émaillée
Matériau noble destiné à des oeuvres durables. Plaques de 15 à 30 mm (attention au poids !). Après une première cuisson de la plaque de lave, les éléments du panneau sont reportés par sérigraphie. " est moins onéreux de colorier à la main un tracé noir. L'ensemble est porté à haute température (1 000°) dans un four céramique pour obtenir la vitrification.
Les plaques ont besoin d'être scellées sur plateau de métal (lac d'Aubusson, PNR Livradois-Forez fiche 3.5), ou sur un mur, ou enchâssées dans un rocher naturel (photo ci-dessous).
Voilà les principaux procédés. Il en existe d'autres, beaucoup moins répandus, métal gravé par exemple, les processus seront généralement les mêmes au départ, différents ensuite.

Sérigraphie
Technique de reproduction la plus répandue pour son efficacité et son faible coût. A partir du fichier numérique, on flashe en "séparation de couleur" tous les films. Un film par couleur, lesquels seront recopiés sur des châssis à écran de soie, par insolation . On imprime en faisant passer l'encre au travers des écrans avec une raclette. Les supports sont innombrables, rigides ou souples, altuglas, polycarbonate, polychlorure de vinyle (PVC), komacel, forex, komadur, etc. Chacun a ses avantages, ses inconvénients et ses coûts. L'impression au verso d'une plaque transparente est courante.

 

Le sérigraphe prépare un châssis en obturant certaines zones avec du kraft. Lave émaillée scellée sur un bloc de rocher. (Dahn Design)

 

4.3.6. Mobilier-support

Nous terminons en présentant une série d'exemples de mobilier-support. Volontairement, nous ne les accompagnons d'aucun commentaire, pour vous laissez juger vous-même, comme le ferait un visiteur. Qu'ils soient bons ou mauvais, les meilleurs ou les pires, ils répondent tous à une logique et sont implantés quelque part dans un site, en France ou ailleurs.
Quels sont ceux dont vous auriez souhaité être les auteurs, et ceux que vous préfèreriez éliminer du paysage ?